Assurance brise-roche BTP : 5 idées reçues qui peuvent vous coûter cher

Assurance brise-roche BTP : 5 idées reçues qui peuvent vous coûter cher

Le brise-roche hydraulique est l’un des équipements les plus sollicités sur les chantiers de démolition, de terrassement ou de voiries. Puissant, mais exposé à des risques élevés, il mérite une attention particulière en matière d’assurance.

 

Pourtant, de nombreuses entreprises BTP s’appuient sur des idées reçues concernant leur assurance brise-roche… qui laissent des angles morts dans leur couverture.

 

Voici 5 croyances répandues en matière d'assurance brise-roche identifiées par ADN à corriger d’urgence pour éviter de payer le prix fort. 

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assurance brise-roche, Image montrant un brise-roche hydraulique en action sur un chantier BTP, symbolisant la protection et l’assurance spécialisée pour les engins de chantier.

Idée reçue n°1 : "C’est la pelle qui est assurée, le l'assurance brise-roche est incluse"

FAUX.

Un brise-roche hydraulique peut être considéré comme un accessoire ou comme un équipement autonome, selon le contrat.

Et s’il est volé ou cassé hors machine, il est souvent non couvert… sauf mention explicite.

 

💡 Conseil d’expert : Il faut au-delà de l'assurance de la pelle ou de l'excavateur, une déclaration précise, avec valeur et numéro de série du brise-roche.

Idée reçue n°2 : "Un brise-roche, ça casse souvent, donc ce n’est pas assurable"

FAUX.

C’est justement parce que cet outil est soumis à des conditions extrêmes (pression hydraulique, chocs, vibrations) qu’il doit être bien assuré.

💡 Conseil d’expert : Le bris de machine s’applique, mais attention aux exclusions (usure, défaut d’entretien, malfaçon…).

Idée reçue n°3 : "Je suis couvert par l'assurance brise-roche tant que je suis sur le chantier

FAUX.

La zone géographique et les heures d’utilisation peuvent conditionner les garanties.

Certains contrats excluent le vol ou les dommages en dehors des heures ouvrées ou hors zone chantier. 

 

💡 Conseil d’expert : Il faut bien vérifier les conditions particulières et adapter la couverture de l'assurance brise-roche.

Idée reçue n°4 : "Il n’y a pas besoin d’actualiser le contrat à chaque nouvel outil"

FAUX.

Chaque ajout/remplacement de matériel doit être déclaré pour être pris en compte.

Un brise-roche acheté, loué ou prêté sans modification du contrat = risque de non-couverture.

 

💡 Conseil d’expert :  Un courtier vous aide à garder vos garanties à jour, sans vous noyer dans les documents

Idée reçue n°5 : "Tous les contrats se valent, l’important c’est le prix"

FAUX.

Les franchises, exclusions, montants assurés, délais d’indemnisation varient énormément d’un contrat à l’autre. 

 

 💡 Conseil d’expert :  Le prix ne vaut rien sans des garanties adaptées à votre usage réel sur chantier. 

Moralité : Faire appel à un courtier est la bonne idée qui n’est pas une idée reçue

  1. Il lit entre les lignes des contrats et saura vous renseigner pour votre assurance brise-roche
  2. Il connaît la réalité des engins de chantier
  3. Il vous aide auprès de l'assureur en cas de sinistre
  4. Il vous fait gagner du temps, et souvent de l’argent

 

Vous exploitez un brise-roche sur vos chantiers ?

Prenez deux minutes pour faire le point sur votre assurance brise-roche.
Une couverture mal adaptée peut vous coûter cher. Un contrat bien calibré peut, lui, vous sauver un chantier.

 

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